On nous a trompés. Ce que l’on appelle Démocratie et Liberté sont devenu en réalité une forme ingénieuse et invisible de dictature économique. Aussi longtemps que notre société dépendra du crédit bancaire pour son apport d’argent, les banquiers continueront de décider qui reçoit de recevoir de l’argent ou pas.

Peu de gens savent aujourd’hui que l’histoire des USA depuis la révolution de 1776 a été en grande partie une lutte épique pour se libérer du contrôle des Banques mondiales dominées par les Rotschild (dépression, inflation, paniques bancaires, guerres, infiltrations, possession des medias, tromperie des masses, assassinats, éducation). Cette lutte a finalement été perdue en 1913 quand le Président Wilson a signé la loi de la réserve fédérale donnant le pouvoir de créer l’argent américain à un quartel de banques internationales.

Le pouvoir de ce système est profondément ancré et le silence des medias et du monde de l’éducation à ce sujet est profond lui aussi.

Il y a des années, un Vice Premier ministre du Canada, a fait un sondage informel auprès de nombreux professionnels bien éduqués, et auprès de simples citoyens. Il a constaté qu’aucun d’eux ne comprenait vraiment comment l’argent était créé. En fait, on peut probablement dire que la majorité des gens y compris les simples employés de banque n’ont jamais réfléchis à la question. Et vous ?

Le système moderne de l’argent dette est né il y a un peu plus de 300 ans quand la première banque d’Angleterre a été créée par une charte royale (1694) lui autorisant des prêts fractionnels de dépôts d’or au ratio de 2 pour 1. Ce modeste ratio était le premier pas. Le système est maintenant mondialisé. Il créer des quantités virtuelles illimitées d’argent à partir de rien. Et presque tout le monde sur la planète est enchaîné à une dette sans cesse grandissante qui ne pourra jamais être repayée. Est-ce que tout cela serait arrivé purement par accident ou est-ce qu’il y a conspiration ?

De toute évidence, l’enjeu est considérable !



Source : "L'argent dette" selon Paul Grignon 

... lire la suite de cet article